Investir autrement dans l’immobilier avec le crowdfunding

Investir autrement dans l’immobilier avec le crowdfunding
Le crowdfunding immobilier séduit un nombre croissant d’épargnants grâce à des rendements bruts annuels compris entre 8 % et 12 %, selon les projets et les plateformes. Ce type d’investissement s’impose comme une alternative pertinente aux placements traditionnels, avec un ticket d’entrée dès 1 000 €, et une durée moyenne de placement de 12 à 36 mois.
En 2024, la plateforme Homunity a affiché un rendement moyen annuel brut de 10,55 %, confirmant la compétitivité de ce placement. Cependant, il est important de rappeler que les performances passées ne préjugent pas des résultats futurs et que le capital n’est pas garanti.
Comment fonctionne le crowdfunding immobilier ?
Le crowdfunding immobilier permet à des particuliers de cofinancer des opérations immobilières portées par des promoteurs. Ces projets peuvent concerner la construction neuve, la réhabilitation d’immeubles anciens, l’aménagement de bureaux ou commerces, ou encore des ventes à la découpe.
Les fonds collectés sont généralement apportés via une société intermédiaire (SCCV ou SAS) créée pour chaque opération. Une fois le financement réuni, le promoteur lance le projet, dont les produits sont ensuite vendus ou loués. L’épargnant perçoit à l’échéance son capital investi, augmenté des intérêts prévus, sous réserve de la réussite du projet.
Une solution sans gestion locative
Contrairement à un investissement locatif classique, le crowdfunding immobilier ne nécessite aucune gestion quotidienne. L'investisseur n’a ni locataire à gérer, ni charges à supporter. C’est un placement 100 % digitalisé, simplifié et totalement passif. Pour en savoir plus sur les projets en cours, consultez la sélection Homunity - crowdfunding immobilier.
Des risques à considérer
Comme tout placement, le crowdfunding immobilier comporte des risques :
- Risque de perte en capital : en cas de défaut du promoteur ou d’échec du projet.
- Risque d’illiquidité : les fonds sont bloqués jusqu’à l’échéance (et parfois au-delà, en cas de retard).
- Risque de retard de livraison ou de commercialisation : ce qui peut impacter le TRI final.
Les plateformes spécialisées comme Homunity réalisent un audit rigoureux des projets avant publication (jusqu’à 80 critères analysés), afin de limiter au maximum ces risques.
Une fiscalité simple : la flat tax à 30 %
Les revenus générés par le crowdfunding immobilier sont fiscalisés comme des intérêts mobiliers. Ils sont soumis au Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) de 30 %, soit :
- 12,8 % d’impôt sur le revenu
- 17,2 % de prélèvements sociaux
Cette fiscalité est prélevée à la source, rendant l’imposition simple et sans formalités supplémentaires. Une option au barème progressif est possible, selon votre situation personnelle. Le traitement fiscal reste dépendant de la situation personnelle de l’investisseur et le dispositif peut être amené à évoluer dans le temps.
Une diversification recommandée
Il est recommandé de diversifier son portefeuille en investissant dans plusieurs projets à la fois. Cela permet de lisser les risques et d’optimiser la performance globale. Il est aussi pertinent de combiner le crowdfunding avec d’autres véhicules immobiliers comme les SCPI, l’assurance-vie ou encore l’investissement locatif.
Perspectives 2025 : vers des projets plus verts
Le crowdfunding immobilier poursuit son développement, en lien avec les objectifs de la loi Climat. Les promoteurs intègrent désormais davantage de critères environnementaux et sociaux, ce qui attire les investisseurs soucieux de financer des projets durables.
À retenir
- Rendement brut annuel entre 8 % et 12 % (Homunity : 10,55 % en 2024)
- Ticket d’entrée dès 1 000 €
- Durée moyenne : 12 à 36 mois
- Fiscalité : PFU de 30 % prélevé à la source
- Risques : perte en capital, illiquidité
- Plateforme à considérer : Homunity
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